Melissa Albert, une jeune blogueuse, sort son premier roman à l’univers fantastique et terrifiant. L’univers qu’elle a créé suscite de nombreux éloges. En effet, le succès a été tel que Columbia, plus connu pour être le producteur de Divergente, vient de faire l’acquisition des droits d’adaptation cinématographique du roman ! Les gens n’ont donc pas fini de frissonner !
Un décor posé d’emblée
S’il y a bien un genre qui a toujours autant de succès auprès des adolescents, c’est bien le conte gothique qui mêle des personnages aux émotions envahissantes et au vécu macabre et un décor sombre et fantastique.
Hazel Wood se trouve pile à cette frontière, entre le film de Tim Burton tiré de la légende de Sleepy Hollow, et les personnages de Disney revisité dans la funèbre série Once Upon A Time.
L’auteure utilise également le principe de mise en abyme, procédé permettant d’incruster une œuvre dans une autre œuvre du même type, et qui créé rapidement un sentiment d’emprisonnement infini. Cependant, ce n’est pas le lecteur qui sera le plus impacté, mais bien cette pauvre Alice qui risque de ne plus pouvoir sortir d’Hazel Wood !
« Ne t’approche jamais d’Hazel Wood… »
Hazel Wood est le manoir dont Alice vient d’hériter après le décès de sa grand-mère, Althéa Proserpine, qui s’est rendue célèbre en écrivant un recueil de contes cultes et extrêmement sanglants :
« Les Contes de l’Hinterland ».
Alice n’a jamais rencontré sa grand-mère ; elle n’a jamais posé le pied à Hazel Wood, ni lu un seul des contes écrits par Althéa.
Pourtant, quand d’étranges personnages rôdent autour d’elle, elle comprend qu’ils ont un lien avec l’univers créé de toutes pièces par sa grand-mère. Certains prétendent même en être issus… et savoir où se trouve la mère d’Alice qui a été enlevée et lui a interdit d’approcher le manoir…
La jeune fille n’a donc d’autre choix que de braver l’interdiction de sa mère et de pousser le portail d’Hazel Wood…
Disponible en librairie.