Le phénomène Half Bad envahit vos librairies !

C’est officiel, depuis mercredi, le roman évènement Half Bad a envahi vos librairies. Retour sur un phénomène.
L’histoire
Notre monde abrite des sorciers. Des sorciers blancs, qui sont bons. Et des noirs, qui incarnent le mal. Au milieu, il y a Nathan, dont le père est le plus puissant des sorciers noirs. Et dont la mère, grande sorcière blanche, s’est suicidée.
Nathan fait peur parce qu’il est différent. Bon ? Mauvais ? Personne ne le sait. À tel point que le Conseil des sorciers blancs lui enlève de plus en plus de libertés jusqu’à l’enfermer et le torturer. Nathan sait qu’il doit s’échapper avant ses 17 ans. Car, à 17 ans, tous les sorciers reçoivent leur don à travers une cérémonie. Et le seul à pouvoir pratiquer cette cérémonie est Marcus, son père. Nathan parvient à s’échapper, mais le plus dur reste à faire : retrouver son père.
Le phénomène
Avec un record de 48 pays acquéreurs pour les droits de traduction, Half Bad en impose. Ajoutez à cela l’auteure, Sally Green, comptable de son état, découverte par la prestigieuse maison d’édition Penguin, qui lui propose de publier son premier roman, des droits d’adaptation cinématographique acquis par la Fox, un film produit par Karen Rosenfelt (Twilight, Percy Jackson, Le diable s’habille en Prada)… Il n’en faut pas plus pour qualifier le titre de « raz-de-marée littéraire auquel personne n’échappera ». A cela s’ajoute un plan promotionnel hors norme :
– Des livres sont cachés dans des lieux évocateurs de l’enfermement dans 5 grandes villes françaises (Paris, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Montpellier) ainsi qu’à Bruxelles et Genève.
– Des cages cadenassées renfermant les ouvrages ont été livrées à certains libraires 1 semaine avant la date de parution officielle.
– 200 ouvrages numériques sont cachés sur le site http://halfbad.editionsmilan.com/
La claque
Plus qu’une histoire de sorciers, Half Bad , c’est d’abord une claque littéraire : une écriture forte, tout en tension, sans concession, qui malmène le lecteur en le plaçant au coeur de la cage qui maintient Nathan enfermé. Ce qui marque aussi, c’est l’« après-lecture » : le sentiment diffus que ce roman ne veut pas se détacher du lecteur. Et reste l’impression d’avoir lu quelque chose de fort, de différent et de totalement addictif.