Il venait de rentrer dans son immeuble où il avait son appartement. Un appartement de style haussmanien au dernier étage de l’immeuble au coin de la rue des Halles. Ces dernières étaient en pleine effervescence avec une foule innombrable qui se ruait dessus. On sentait d’ici la volaille, les légumes et toutes autrews nourritures qui donnaient des odeurs noséabondes. Il monta les escaliers croisant les riches propriétaires du dessous, parés de beaux vetements et de bijoux brillants, surement allaient ils à un des ces opéras dont tout le monde parle. Il se disa qu’il ferai peut être un tour à leur appartement et jetterai un coup d’oeil à leurs richesses bientôt disparues. Il continua sa route jusqu’à sa porte et l’ouvris.
Ils était heureux de revoir ces murs moisis par l’humidité décoré de ses dernières trouvailles, des oeuvres qui devait participer à la prochain exposition universelle. Il se retourna et bloqua sa porte avec un chaise qui trainait là. Il se mit, ensuite, à cacher dans des coffres à double fond et dans des vitrines piégées toutes choses de valeur de peur que la police le retrouve. Il mit dans sa poche de pantalon une photo d’une femme où, au dos, avait noté des coordonnées. Il faissait ça pour elle après tout ce qu’elle avait fais pour lui. Il enlevit aussitôt sa veste qui pouvait le gêner si il devait courrir ou je ne sais quoi de sportif. Quand soudain il les entendit, ils l’avaient retrouver, il devait s’enfuir. Il commença à ouvrir la fenêtre et à vérifier qu’il n’y avait rien qui pourrait l’embêter lors de sa fuite. Il les entendit frappa à sa porte. Ils avaient couru vut le temps qu’ils avaient pris pour monter ces interminables escaliers. Ils commencèrent à fracasser la porte à coups de marteau. Il attendit là, tranquillement assis au rebord de sa fenêtre, il pensait qu’ils mettraient moins de temps à détruire cette porte moisi et crasseuse. Après quelques minutes, longues pour ce cher Arsène, la porte fut mit en morceau. Il les regarda, droit dans les yeux, les narga et leur tira la langue tel un enfant qui avait fait une bêtise. Puis il sauta par la fenêtre.
Il était sorti de son appartement aussi vite qu’un lièvre mais ils était déjà à ses trousses. Il foncça sur l’échelle qui menait sur le toit. Maleureusement ,pour lui, ils le suivait toujours. Il se mit courir pour aller à l’autre bout de cette pleine de béton. Puis il sauta du sommet de l’immeuble occupant sa planque à celui d’à coté. Il courait de toits en toits tout en évitant les obstacles, comme les cheminés, ou les projectiles lancés par ses poursuivants.
Déjà dix minutes de course-poursuite sur les toits de Paris et il commençait à s’épuisé, les bruits de la ville autour de lui étaient tout aussi épuisants mais ils le suivaient toujours. Il s’arrêta pour reprendre son souffle mais les voyant arriver il se mit vite à accélérer. Ses cheveux étaient en sueur et ses cheveux arboraient la même humidité. Du haut de ses 15 ans il était, certe, aussi agile qu’un chat et avait de l’énergie à revendre mais il n’était point habitué à des choses de ce genre. Il avait beau être malin comme un renard, il ne savait pas comment se sortir de ce pétrain. Il passa devant de grands monuments tel que l’Opéra Garnier et ses grandes colonnes qui lui rappellait les livres qu’il avait lu sur la grèce antique ou la Tour Eiffel en pleine construction, cette oeuvre qui était construite spécialement pour l’exposition il trouvait cela dommage de la détruire ensuite mais ce n’était pas lui qui décidait malgré tout il avait pourtant réussi à voler ses plans quelque chose dont il n’était pas peu fier. Il pris le temps d’admirer ces monuments mais sans pour autant s’arrêter. Il ne pouvait bpas se faire attraper à aucun prix. Non il ne DEVAIT pas se faire attraper, c’était une question de vie ou de mort. Sinon elle serait en danger…
Après trente minutes de course effrénée, il ralentissait, il était au bord de l’épuisement. Mais il arrivait toujours à observer l’environnement autour de lui, il était déjà à la limite de la ville et de ses grands immeubles. Quand soudain, il repéra un endroit entre deux immeubles, il n’y avait personne qui trainait par ici vu la abominable puenteur étoufante de l’endroit. Il regarda derrière lui, ils le suivaient toujours mais ils étaient plustôt loin, assez loin pour ne pas le voir. Il en profita donc, il sauta du toit pour se cacher entre les grand immeubles, arrivant au sol il eu mal en effet il avait d’une vintène de mètres de hauteur mais s’en fichait, il savait que la douleur allait passé. Quand ils arrivèrent, ils se demandient où avait-il bien put passé ? Ils pensait qu’il ne serai pas assez pour sauter et bien ils se trompaient. Ils se mirent à la chercher pendant une bonne trentaine de minutes mais ne le trouvant pas, ils retournèrent sur leurs pas, peut être était-il retourner à sa planque ? En tout cas une horde de leurs semblables l’attendaient accompagné du célèbre Sherlock Holmes et de son assitant, le docteur Watson.
Mais se qu’ils ne savaient pas c’est qu’il avait gagner.
Qu’il était sauvé.
Qu’elle l’était aussi…